ARCHITECTURE THERAPEUTIQUE

OBJECTIF : humaniser les centres en rendant ces espaces plus agréables, plus inspirants, en tenant compte de l’intégration de la technologie.

-> Éviter la sensation d’enfermant en créant différents espaces : intimes, communs, etc.

COMMENT : proposer un espace ludique et serein.
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Travail sur la végétation : avec des murs de végétation ou des jardins thérapeutiques intérieurs, qui agissent comme une source d’apaisement du stress et comme un calmant des symptômes physiques. Travailler sur la stimulation sensorielle de la nature : images, sons, aromathérapie et textures naturelles en tissu et en bois.
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Eclairage
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Travail entre l’intérieur et l’extérieur : créer une transition entre les deux pour ne pas avoir de rupture
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Utiliser la perspective pour créer des lignes de fuite visuelle
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Le mobilier

-> Intéragir avec l’échelle, la lumière, les matières, les volumes d’une nouvelle manière.

SENSORIALITÉ ARCHITECTURALE

Marquer le grand retour du corps humain dans l’espace.
Prendre davantage en compte nos émotions et perceptions en analysant les perceptions visuelles, olfactives, auditives et tactiles associées à un espace urbain.
Favoriser les ressentis positifs et diminuer les ressentis négatifs par l’urbanisme : installations lumineuses ou artistiques, mobilier urbain, signalétique, aménagements paysagers, etc.

Les courbes et formes organiques apportent un coté plus rassurant et apaisant.
D’après Christophe Beaver (2006, 2010), les projets architecturaux devraient privilégier les lignes courbes pour les structures accueillant des personnes avec TSA, car elles sont plus appréciées pour leur caractère informel.
Les formes courbes, sont plus sécuritaires car elles permettent d’éviter les coins aigus ou à angle droit. Ajoutons également que les lignes courbes et les formes organiques sont préférées par les autistes, car elles représentent davantage la vie, la nature, le changement.

INTIMITÉ

TRANSITIONS

ÉCLAIRAGE INDIRECT